Comme s’il en pleuvait

Soirée de Gala du Rotary Club de Liège

1^er juin au Théâtre de Liège

Au profit des actions du Club en faveur :

• des sinistrés des inondations,
• du Foyer pour enfants L’EDELWEISS à Vaux-sous-Chèvremont,
• du TABUCHET, accueil pour adultes handicapés au Thiers-à-Liège,
• de CAP MIGRANTS,
• de LIVE in COLOR,
• du Fonds Léon FREDERICQ

Le Président et les membres du Club vous invitent à prendre le verre de l’amitié à l’issue du spectacle

C’est l’un des plus grands succès des dix dernières années sur les boulevards de Paris. « Comme s’il en pleuvait », créé en Belgique par la compagnie royale du Théâtre Arlequin, est à l’affiche le 1er juin à 19h30 au Théâtre de Liège en soirée de gala organisée, au profit de ses œuvres, par le Rotary Club de Liège.

Cette comédie de Sébastien Thiery est championne de l’originalité. Elle engendre le rire avec une intrigue étonnante loin des ressorts habituels du triangle amoureux. Enfin une pièce de théâtre qui apporte un rire tout neuf, et un thème inexploité : l’argent qui peut rendre fou.

Quand le rideau se lève, un personnage d’anesthésiste rentre chez lui, après avoir passé une journée à l’hôpital à endormir ses patients qui, par bonheur, se sont tous réveillés. Il découvre avec surprise un billet de 100 euros sur la table du salon. A sa femme qui rentre à son tour, journée faite, il pose la question : D’où viennent ces 100 euro ? Sa femme l’ignore. Le bonhomme range alors le billet dans son portefeuille. Pourquoi tu t’empares du billet, lui demande l’épouse ? C’est moi qui l’ai vu le premier, rétorque, avec un peu de mauvaise foi, le médecin. Finalement, le couple décide d’aller dépenser les 100 euros au restaurant. Le lendemain, apparaissent de nouveaux billets. Et l’intrigue se charge de mystère. On soupçonne la bonne espagnole de déposer dans l’appartement de l’argent volé. Fausse piste. L’argent n’arrête pas de surgir de jour en jour dans tous les coins de l’appartement. Quand apparaît un voisin, résident récent dans l’immeuble.

Mystérieuse, cocasse, inattendue, l’intrigue de « Comme s’il en pleuvait » passionne jusqu’à la dernière réplique.

Un spectacle donc à ne pas manquer. D’autant que le prix d’entrée comprend aussi le verre de l’amitié qui prolongera la fête.

La pièce mise en scène avec dynamisme par Quentin Wasteels qui joue l’inquiétant voisin, est interprétée avec charme et talent par Delphine Dessambre et Maïté Wolfs. Elle met en vedette  Philippe Vauchel dont on se dit qu’on l’a vu déjà quelque part. Mais oui à la télévision, il jouait le curé bon enfant dans « Chez Nadette » une série de la RTBF.

Une belle soirée à ne pas manquer, une bonne action amusante à accomplir.

José Brouwers, Théâtre Arlequin