Succès retentissant qui éblouit le public lors de la 76ième édition du Festival d’Avignon, One Song. Histoire(s) du Théâtre IV, est sans aucun doute la réponse la plus décalée, la plus originale, la plus primitive à la question proposée par le NTGent : « En tant que créateur, quelle est votre histoire ? ».

Quatrième artiste à s’emparer de cette question, Miet Warlop esquisse une réponse comme elle seule peut en donner. Plasticienne de formation, l’artiste belge jette douze artistes dans une arène à l’apparence d’une salle de gymnastique pour un rituel fascinant sur les adieux, la vie et la mort, l’espoir et la résurrection. Construit comme un écho à sa propre œuvre, où l’on retrouve ici et là les traces d’anciennes performances, One Song évoque merveilleusement – par le truchement de textes chantés, de pratique sportive intensive, de répétitions et de sueur – notre condition humaine, capable, grâce à la force du collectif, de transcender tous les malheurs.

Soirée de clôture le vendredi 16 février à partir de 22h :

avec DJ Archibald

” Comme Alain Delon, je déteste l’idée de parler de moi, mais si je devais me décrire, et je le dois, je dirais que je suis un DJ nostalgique et éclectique. J’ai fait mes armes au Cadran de 2012 à 2019, aussi bien dans les soirées club du samedi qu’aux jeudredis du Studio 22 avec mon copain David Body (que j’embrasse). Musicalement, j’aime tout ce qui groove, quel que soit style ou le tempo. Et puis j’aime bien la mélancolie aussi. La chanson idéale, selon moi, c’est celle qui peut vous faire pleurer en twerkant. Démerdez-vous avec ça “

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